Six mois plus tard, on a fini notre premier tapis, et on vous raconte pourquoi vous devez, vous aussi, vous mettre à tufter à tout-va.
À l’hiver 2025, après quelques échanges de mails avec Karima, cofondatrice de la très jolie plateforme en ligne LeTufting, on a reçu de quoi se lancer dans la ardour qui anime de plus en plus de Français. Le tufquoi ? Le tufting, ou tuftage en français, signifie, en citant bien frontalement Wikipédia : « une method textile consistant à insérer parallèlement et en continu des fils (de différents sorts) dans un file primaire, lui-même étant un canevas ou un help textile préfabriqué ». Un mot stylé pour une self-discipline qui vide la tête pour la remplir de créativité : tisser, à l’aide d’un pistolet, un tapis. Un tapis à nous, avec des couleurs, des formes, et tout ce qui va avec. Six mois plus tard, je peux vous le dire, c’est autant le voyage que la vacation spot qui comptent. Alors, on s’y met tous ?
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Stand de tir
Pour nos premiers pas, une fois notre package analysé, on s’est voués à deux saints : une proche qui avait déjà suivi un atelier et, surtout, des tutos en ligne. Parce qu’avec aucune pratique sous notre ceinture, on était un peu intimidés. Plus habitués à relever des challenges culinaires, on s’est dit que si un jour on avait réussi à préparer une pièce montée en un week-end, on arriverait à se mettre à la pelote.
Armé de notre pistolet, de notre cadre et de notre toile, on half donc pour la vraie model de la fleur au fusil. Si, au départ, l’enfilage des pelotes nous a donné, sans mauvais jeu de mot, du fil à retordre, la première imprecise de satisfaction a envahi notre caboche. Les deux mains prises, le smartphone bien loin (sauf pour remater un tuto d’enfilage de fil), on brrrrr, on bzzzzz, et si le résultat est, au graduation, un brin foireux, le plaisir est complètement là.
Un tapis de quoi, un tapis de qui
Pour notre premier tapis, on n’a pas voulu faire easy côté design, en demandant aux petits de nos vies de nous dessiner un patron. Trop mignon. Spoiler : pour une première, on ne saurait que vous conseiller de la jouer petit et easy, histoire de se faire la essential.
Par manque de temps et par hyperconnexion flagrante, la suite a pris son temps, mais, comme pour la pâte à choux de notre pièce montée, à un second, le coup de essential est venu, le fil a volé plus vite, et les détails ont pris vie sur la toile de moine. De fil en aiguille (on file les figures de model, vous l’avez ?), et plusieurs mois plus tard, on a « presque » terminé notre premier tapis.
Quelques tutos de plus
On n’a pas compté les heures passées, avec quelques semaines mois chargés où on a à peine touché à notre cadre. Comme si finir le premier tapis c’était finir notre initiation et ne plus retrouver ce plaisir de la découverte. Pourtant, il nous restait encore un peu de boulot : la colle et la tonte (la nôtre n’a pas été très droite, on vous conseille vivement d’utiliser une tondeuse avec un guide). Au remaining, notre premier tapis est superbe (pour nous), et on en est vraiment très fiers.

Alors, pourquoi on devrait tous se lancer ? Parce qu’exprimer sa créativité est un luxe, et que si on peut en plus la rendre ludique, c’est le pompon (à faire avec le reste d’une pelote). Bien sûr, on a mis du temps, on s’est parfois un peu énervé sur nos premières boulettes, mais avec les excellents tutos proposés par Letufting, la satisfaction est bien là. Pour le prochain tapis, on va juste faire plus petit, plus easy, histoire de compter en jours et pas en mois notre création. Et pour la symétrie de notre première œuvre ? On n’était déjà pas fort fort en géométrie à l’école, et comme la calculatrice que nos profs nous disaient qu’on n’aurait pas, tufter nous a permis de mettre notre smartphone là où il doit être un peu plus : dans notre poche.
Pour les mèmes, les tutos et le matériel, on vous conseille vivement de suivre Letufting. Article rédigé dans le cadre d’une mise à disposition de produit par Letufting.